Performers from different generations come together to restore friction to its rightful place in a society where the dominance of individualism favours distancing and separation. Sophia Rodriguez seeks to encourage a confrontation of contradictions, a sharing of agreements and disagreements, a mixing of identities, stories, thoughts, fears and desires. Friction as a tool for individual and collective transformation, a resource for exchange and transmission within a dynamic of gift and counter-gift. Friction to go beyond the surface, to take risks, and to have the courage to create a spark.
Conception : Sophia Rodriguez / Création, interprétation et texte : Anna Franziska Jäger, Vincent Focquet, Simon Van Schuylenbergh, Robert Steijn, Martina Calvo, Sophia Rodriguez / Dramaturgie: Robert Steijn / Regard extérieur : Meg Stuart / Costumes, accessoires : Sofie Durnez / Scénographie : Sofie Durnez, Sophia Rodriguez / Animation, dessins : Martina Calvo / Musique : Gašper Piano / Voix : Kalé Rodriguez Goldberg, Simone Rodriguez Goldberg, Audra Runnels, Azul Belmar, Violeta Belmar / Son : Korneel Moreaux / Lumière : Jan Maertens
Production : KWP Kunstenwerkplaats / Coproduction : Toneelhuis, Kunstencentrum BUDA, vierNulvier / Soutien : De Grote Post, Kaaitheater, Next Festival, Communauté flamande, Commission communautaire flamande, Tax Shelter / Remerciements : Micha Goldberg, Mary Gloria Pacheco, Benjamin Vandewalle, Marie Umuhoza, Jozef Wouters, Benjamin Abel Meirhaeghe, Julia Reist, Eevi Kinnunen, Helena Araujo, Rosie Sommers, Lazará Rosell Albear, Horacio Macuacua, Oneka von Schrader, Thomas Proksch, Tim Coenen
Présenté à l'occasion du Festival It Takes a City
It Takes a City* est un nouveau festival biennal centré sur la génération montante d’artistes de la scène bruxelloise. Proposé par huit associations francophones et flamandes : l'atelier 210, la Balsamine, le Beursschouwburg, Charleroi danse, Les Halles, le Kaaitheater, Pianofabriek et workspacebrussels. Le festival crée un pont entre les communautés et offre un instantané de la créativité de la ville, reflet de sa diversité culturelle et artistique. À La Raffinerie, nous accueillerons deux artistes plurielles repoussant les limites de leur discipline.
*Le titre du festival fait référence au proverbe « Il faut tout un village pour élever un enfant » attribué aux cultures du continent africain, notamment aux sociétés utilisant les langues Lunyoro, Kihaya et Kijita. Traduit dans notre contexte, « Il faut une ville », ses salles indépendantes, ses écoles, son public, ses artistes et ses institutions pour développer une scène artistique diversifiée comme celle de Bruxelles. En tant que festival, It Takes a City s’appuie sur cet effort collectif.