DISQUIET est une invitation à troubler, perturber, déconstruire la norme et les structures par la techno hardcore et ses sous-genres comme le gabber, le hardstyle, la jungle et en particulier la drum'n bass.

Lisa Vereertbrugghen explore les styles de danse techno hardcore caractérisés par  les ruptures sonores, l’intensification de la basse et de la batterie et une vitesse minimale de 160 BPM. Ces informations acoustiques stimulent et guident le corps vers la diversion, la perturbation. La techno hardcore offre alors un espace d’invention et de surgissement d’un ailleurs alternatif, un autrement qui dérange, secoue, brouille et désorganise l’ordre en place. Un lieu de reconfiguration.

Distribution

Conception, chorégraphie, performance : Lisa Vereertbrugghen / Son : Michael Langeder / Lumière : Vera Martins / Conseillère artistique : Madison Bycroft / Construction scénographique : Ian Gyselinck, Simon van Parys
 

Coproduction : December Dance (Cultuurcentrum + Concertgebouw Brugge), Kunstenwerkplaats KWP, STUK, CAMPO, Bit Teatergarasjen / Soutien : Beursschouwburg, Kunstencentrum BUDA, Workshop Foundation, Fonds culturel national de Hongrie, workspacebrussels / Aide : Autorités flamandes, Life Long Burning cofinancé par le programme Europe créative de l’Union européenne
 

Présenté à l'occasion du Festival It Takes a City

Festival It Takes a City
It Takes a City* est un nouveau festival biennal centré sur la génération montante d’artistes de la scène bruxelloise. Proposé par huit associations francophones et flamandes : l’atelier 210, la Balsamine, le Beursschouwburg, Charleroi danse, Les Halles, le Kaaitheater, Pianofabriek et workspacebrussels. Le festival crée un pont entre les communautés et offre un instantané de la créativité de la ville, reflet de sa diversité culturelle et artistique. À La Raffinerie, nous accueillerons deux artistes plurielles repoussant les limites de leur discipline. 

*Le titre du festival fait référence au proverbe « Il faut tout un village pour élever un enfant » attribué aux cultures du continent africain, notamment aux sociétés utilisant les langues Lunyoro, Kihaya et Kijita. Traduit dans notre contexte, « Il faut une ville », ses salles indépendantes, ses écoles, son public, ses artistes et ses institutions pour développer une scène artistique diversifiée comme celle de Bruxelles. En tant que festival, It Takes a City s’appuie sur cet effort collectif. 

www.ittakesacity.brussels